Coincées entre un risque sanitaire qui reste au-devant de la scène avec la vague Omicron et la perspective d’une inflation ancrée au-delà de la cible de 2%, les banques centrales sont au centre de toute l’attention. Le marché monétaire est peu impacté pour l’instant avec des niveaux d’émission toujours extrêmement bas, contrairement à un marché du crédit plus volatile et à des incertitudes sur l’évolution des taux longs.